À quoi sert DCM ?

Lors de sa présentation dans le cadre des TechDays, Catherine PAOLETTI a avancé certaines statistiques sur des incidents traités par Microsoft Services tant pour les équipes du support que celles du conseil.

· Dans 56% des cas, le service n’est pas géré dans le cadre d’un accord sur les niveaux de service (SLA).

· Dans 41% des cas, la gestion de configuration n’est pas adaptée.

· Dans 43% des cas, la solution de supervision n’est pas pertinente.

Sans avoir jamais fait l’étude détaillée de mes interventions, je veux bien croire à ces statistiques. Je ne pense pas seulement à ces interventions relatives à la mise en œuvre d’un outil, mais plus souvent à celles qui consistent à jouer le « pompier de service » pour aller éteindre un feu naissant.

Les aides apportées par des programmes tels que « Exchange Best Practice Analyser » permettent un premier niveau de réponse à certains de ces problèmes. Le module « Desired Configuration Manager » de Systems Management Server les complète efficacement. Il est, en effet, possible de modéliser des familles de serveurs ayant les mêmes réglages de manière à éviter toute divergence. DCM permet d’identifier une divergence dans les réglages de serveurs qui devraient apparaître comme identiques. Par exemple, comment expliquer qu’un contrôleur de domaine parvienne à authentifier des utilisateurs quand un autre situé sur un autre site n’y parvient pas.